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10/07/2014

Un Jour une Fille : Véronique Bogdanoff

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Bonjour Véronique,

 

Depuis quand es-tu installée sur le Bassin ?

 

Je suis arrivée de Paris en 2005 où je travaillais dans la téléphonie mobile. Etant originaire du Gers et ayant envie de nous rapprocher de mon père, nous avons décidé de nous  installer ici, par hasard, si hasard il y a… 

 

Directement Paris - Cap Ferret ?

 

Non, nous avons fait ça par étape si je puis dire. Nous sommes arrivés en 2005 à Andernos puis à Petit Piquey en 2008 et en 2012 au Cap ferret ! Je ne pense pas que nous puissions aller plus loin ;-)

 

Comment te sens-tu sur le bout de la Presqu’île ?

 

J’adore, le cadre est somptueux, mes filles adorent leur école et ont plein d’amis et moi aussi je suis très entourée.

 

Tu as profité de ta venue ici pour faire une reconversion professionnelle, laquelle ?

 

Ca, c’est sûr puisque de la téléphonie mobile je suis passée à la Sophrologie, mais je ne peux pas dire que cela ait été décidé, c’est plutôt un concours de circonstances ou peut-être la bonne rencontre au bon moment !

C’est au travers de ma seconde grossesse que j’ai été initiée à la Sophrologie par le biais de ma sage femme. Ce fut une vraie révélation pour moi d’abord car j’ai découvert un calme, une sérénité et une vraie prise de conscience de pouvoir pleinement participer à mon accouchement.


 

Pratiquer c’est une chose mais vouloir en faire son métier cela en est une autre, comment t’es tu décidée?

 

Un jour je suis tombée sur une émission de télévision sur la pratique de la Sophrologie en entreprise. Je suis restée « scotchée » et me suis dit « c’est pour moi, c’est moi, c’est ce que je veux faire ».

Après réflexion, discussions avec ma sage femme devenue amie, j’ai décidé de me former en Sophrologie Caycédienne.

Je savais que c’était très novateur et que ce ne serait pas simple, notamment ici, mais je savais aussi au plus profond de moi que c’était ce que je voulais et devais faire.
 

J’ai donc suivi 4 années de formation et je me suis installée en 2010 à la Maison Médicale et Bélisaire.


 

Dans quels domaines interviens-tu?

 

En cabinet, j’accompagne surtout des patients dans leur développement personnel et notamment je les aide à affronter leurs peurs, à se découvrir et à devenir autonomes.

Je traite par exemple des cas de phobies (avion), la peur de l’échéance d’examens mais aussi d’entretiens d’embauche pour les aider à se mettre dans une situation de réussite.

Nous travaillons sur le passé mais aussi le présent et le futur et sur le long terme, cela permet d’aller chercher en soi des choses positives et non pas de toujours remuer le négatif !

 

Tu as monté un programme pour cet été, peux-tu nous en dire plus ?


 

Oui, j’ai créé SophroPlage qui comme son nom l’indique, consiste en une séance de Sophrologie sur la plage. Le principe est de vivre une séance au milieu des éléments et  notre situation géographique entre terre et mer favorise ce travail.
 

Les séances ont lieu sur la plage du Mimbeau au Cap ferret tous les jours jusqu’au 31 août sur RDV. Vous pouvez me contacter au 06 09 11 11 15


 

Pour conclure, que t’apporte la vie sur le Bassin ?

 

La vie ici m’apporte beaucoup d’amitié, d’attention et d'amour... de la mer que j’essaie de rendre même si je suis une fille de la campagne ! Je suis très fière de donner cette enfance à mes filles.
 

Merci Véronique

 

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29/06/2014

On a pas tous les mêmes motivations !

Encore une perle de Oh my Week!!

J'en imagine déjà quelques unes mais je ne les nommerai pas ;-))

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COULEURS D'EPAVES

Un petit coup de pouce à Mary Jo DUROS et Marie Jo de NEUVILLE qui exposent au Canon du 1er du 9 juillet

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Et si vous êtes dans le coin passez au vernissage le 4 juillet à 19h! 

26/06/2014

Les Escapades musicales

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On ne m'en dit que du bien alors je partage, une série de concerts superbes tout autour du Bassin, quelle bonne idée!

Je vais faire ma petite enquête mais le site c'est ici 

17/06/2014

Migration du parasol bleu

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en raison de la marée (basse à 16h), le parasol bleu migre de Piquey à la plage du Mimbeau juste avant la plage du Phare là où il y a la "roulotte de Mathieu".

A demain ;-)

18:49 Publié dans Les Filles du Bassin | Commentaires (0)

Un jour une Fille : Françoise Sammarcelli

_DSC0498.JPGBonjour Françoise,
 
Pouvons-nous en savoir un petit peu plus à ton sujet?
 
Je suis en née en 1940 et j'ai donc 74 ans cette année. Je suis née à la campagne à St Médard de Guizières où j'ai construit des souvenirs d'une vie très proche de la nature, au gré des saisons avec la cueillette des fruits, le ramassage des champignons et la pêche à la rivière et ma passion pour la pêche vient de là.
 
Entre 8 et 14 ans mon père louait une villa dans la Conche des Jacquets puis vers l'âge de 18 ans je partais en vacances chez des amis à la Vigne. D'ailleurs l'été de mes 18 ans, je n'ai jamais été aussi blanche... Nous faisions la fête tous les soirs et dormions toute la journée!!!
 
De quand date la maison de Piraillan?
 
Des années 60 et à cette époque nous étions seuls dans le quartier. Les travaux se sont terminés en 63 et je me suis mariée en 64. 
J'avais rencontré Michel lors de vacances en Espagne (Une de mes copines me l'a présenté).
 
J'ai eu le bonheur d'avoir deux enfants, Gilles en 66 et Thomas en 67. J'ai arrêté de travailler chez mon père pour élever mes enfants. A l'époque nous habitions à Eysines et venions les weekend ici. Le bonheur!
 
Comment t'es tu remise à travailler?
 
en 1977, mon père était très malade et la direction de l'entreprise est venue me voir pour que ce soit moi qui prenne les rennes ...
Après discussion avec Michel j'ai accepté mais je n'y connaissais rien. J'ai appris sur le tas et ça a été une révélation.
 
J'y ai travaillé 27 ans en tout et tous les matins, je partais au bureau avec le sourire. Pour apprendre c'était simple, j'allais avec les gars sur les chantiers et je posais des questions sur tout ce que je ne connaissais pas.
 
Ayant une nature très positive je me suis dit que je n'étais pas plus bête qu'un autre et que je pourrais y arriver.
 
Ces années là ont été extraordinaires en tant que chef d'entreprise avec plus de 200 personnes dans la société.
 
En 1982 mon père a décidé de vendre mais les acquéreurs ont voulu me garder. Je suis restée jusqu'en 1995 mais ce n'était plus pareil ;
 
Beaucoup de paperasses, de rapports à rendre or moi ce que j'aimais c'était le terrain, travailler avec mes équipes, être proches d'eux et de mes clients.
 
J'ai donc décidé de négocier mon départ. 
 
Mais tu ne pouvais pas rester sans rien faire, si?
 
Sûrement pas.
 
En 94, mon banquier d'Eysines m'a sollicitée pour que je me présente à la Mairie d'Eysines.
 
Compte tenu de ma nouvelle situation professionnelle, j'y suis allée et comme tête de liste.
 
J'ai fait 47,74% des voix, score plus qu'honorable pour une première présentation mais pas suffisant!!!
 
Nous avons décidé à la même époque de vendre notre maison d'Eysines pour partir s'installer aileurs.
 
Un jour, une dame se présente et nous dit qu'elle veut acheter notre maison à la condition que l'on soit partis dans les 15 jours!
 
Nous avons donné notre accord en nous disant qu'en attendant de trouver autre chose nous nous installerions à Piraillan, d'autant plus que c'était au mois de juillet.
 
Puis au mois de septembre, je me souviens, nous étions en voiture au niveau du rond point d'Ares et Michel me dit :
 
"Et si nous restions vivre à Piraillan?"
 
"Ok"
 
Et voilà comment nous sommes devenus résidents de la Presqu'île.
 
Comment t'es-tu organisée dans cette nouvelle vie après les trépidations de l'entrepreunariat et de la "Ville"?
 
J'ai commencé par refaire la maison puis je me suis mise à peindre sur toile, ça a duré 18 mois.
 
Un jour, j'ai rencontré un Monsieur qui s'occupait d'une association de peinture sur porcelaine. On était 5 et j'ai adoré car quand tu sors de ton 1er cours, tu as réalisé quelque chose.
 
En 2002 j'ai quitté l'association pour me mettre à mon compte. J'ai annexé le garage de ma maison, me suis achetée un four et le matériel nécessaire et voilà, l'affaire était partie!
 
Qu'est-ce qui t'inspire?
 
Tout simplement ce que je vois. Par exemple un jour j'ai vu les cabanes de pêcheurs et j'ai eu envie de les peindre et voilà comment j'ai développé mon thème cabanes.
 

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Par quel biais commercialises-tu?
 
par mes réseaux d'amis, je fais essentiellement de la vente à domicile et le bouche à oreille marche très bien. 
 
D'ailleurs ma première commande était une série de bols à bouillon que j'avais du envoyer par la poste. Et bien évidemment tout est arrivé cassé!
 
J'ai travaillé jour et nuit pour refaire la série et c'est Michel qui m'a servi de livreur ;-)
 
Maintenant je ne travaille que sur commande mais il ne faut pas être pressé !
 
Qu'est-ce qui te plait le plus dans ton travail?
 
La création, c'est sûr, mais aussi d'entendre les gens dirent qu'ils aiment ce que je fais et aussi être indépendante, j'ai ça dans la peau...
 
Toujours prête pour de nouveaux challenges?
 
J'adore ça! Pourquoi, tu as quelque chose pour moi?
 
Qui sait ;-) Merci Françoise
 
Marie
 

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28/05/2014

Le truc qui va changer votre vie

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Le truc qui va changer votre vie du tout au tout si vous ne connaissez pas!
Comment sortir digne des toilettes.....

 

Tout simple me disent mes deux blondes préférées ce matin, il suffit de craquer deux allumettes, d'attendre que le souffre ait bien pris et de les souffler!!!!! Ahahaha et ça marche...

 

PS : je raconte ça à totor ce soir qui me dit : mais évidemment le souffre consume le méthane.. Ben oui, c'est évident !!!

 

24/05/2014

Souvenirs de Mamans

Quelle est la recette de votre maman qui, les années passant, gardera le goût heureux de votre enfance ?
Moi c'est la mousse au chocolat 

Le Moulleau fête ses 150 ans

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Il y a 150 ans, le Moulleau, c'était quelques cabanes de résiniers ou de pêcheurs, le poste des douaniers, et une cabane de M. Dalis, servant aux bains de mer.

L'ordre des dominicains cherche un terrain pour construire une maison de repos pour les religieux malades ou âgés. Le prieur du couvent de Bordeaux passe avec deux propriétaires un accord concédant un terrain sous réserve que les moines assurent le service du culte. La chapelle qui deviendraNotre-Dame des Passes, est consacrée en 1864.

Ces 150 ans du lieu de culte donneront lieu a des festivités ce week-end au Moulleau, organisées par Paul Scappazoni et le Comité Moulleau Village.

Samedi 24, Une messe sera célébrée par le père Thomas à 10h30 ; le verre de l'amitié sera offert par les bars et restaurants à 11h30 dans les jardins de la montée à l'église, au niveau de la statue.

À 12h30, ce sera le traditionnel repas des régatiers et voisins du kiosque. Vers 15h, ce sera le départ de la régate des Bacs à voile et Canots mixtes, suivie de la remise des prix entre 17h et 17h30.

Plusieurs tentes accueilleront des animations : la Société Historique, en particulier, rappellera les premières heures du Moulleau ; Charles Daney, Régine Rosenthal, Denis Blanchard Dignac, représenteront l'Académie du Bassin ; la peinture sera à l'honneur avec l'atelier de la Maison de quartier, et les œuvres de Bruno Roul Gauffin. Les photographies anciennes et contemporaines du Moulleau seront exposées par "Les enfants terribles" etFrançois Liduena ; et la boutique Sen No Sen créera un Tshirt pour l'évènement.

Le dimanche 25, un espace sera mis à la disposition de Michel Charmasson, Marc Chaillou et Pascal Ragoucy pour une performance : "L'Empreinte". Les expositions de peintures et de photographies seront encore visibles.

 

Christian Visticot

Très astucieux

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