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15/09/2014

Un Jour une Fille : Alexandra Zwang

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Bonjour Alexandra,

 

Quelle est ton "histoire" avec le Bassin?

 

Je suis née à Arcachon et ai passé ma petite enfance ici. Avec un père militaire, nous avons beaucoup voyagé (Tahiti, Nouvelle-Calédonie, Togo), mais mon point d’ancrage sentimental a toujours été le Bassin.

 

Quel est ton parcours ?

 

Je viens d’obtenir mon Doctorat en Droit privé, ma thèse portant sur « Droit d’auteur et Internet : Interactions croisées du droit d’auteur et du droit des NTIC ».  Je commence l’école d’avocats au mois de janvier prochain.

J’ai deux enfants de 19 mois et 4 mois et suis donc assez occupée.

 

Tu es donc une jeune femme « multitâches »  comment as-tu eu envie « en plus » de créer l’association Æclosia?

 

Mon compagnon avait un projet de création d’entreprise dans la région et nous nous sommes confrontés à un nombre certain de questions sans trouver facilement de réponse.

 

Nous avons donc eu l’idée de créer l’association Æclosia.

 

Que proposez-vous ?

 

Nous proposons trois axes d’accompagnement : la création d’entreprise, le business development et le coaching emploi sur l’ensemble du territoire Bassin d’Arcachon & Val de l’Eyre.

 

Notre mission est de créer un lien, un réseau vers qui se tourner, orienter vers les bons interlocuteurs et accompagner concrètement les projets de nos adhérents.

 

Nous ne nous substituons pas aux organismes existants mais je pense que nous apportons un « plus » notamment en terme de conseil de proximité.

 

Après un entretien individuel avec un des responsables d’Æclosia, l’adhérent bénéficie d’une heure par mois de conseil gratuit auprès des intervenants de l’association, suivant un parcours personnalisé défini au préalable.

 

Cette heure permettra déjà de cerner les besoins de l’adhérent sur un thème précis. Ensuite, il pourra trouver auprès des intervenants sélectionnés par l’association, soutien et accompagnement notamment en matière de stratégie commerciale, information juridique, identité visuelle, contenu rédactionnel ou encore protection sociale, ressources humaines, Internet etc.

 

Comment s’est passée votre première réunion d’information ?

 

Nous sommes très contents de cette première réunion. Nous étions une vingtaine, d’horizons différents.

 

Par exemple ?

 

Il y avait des personnes en reconversion professionnelle, une bio-énergéticienne, une créatrice de parfums, une agence événementielle, une spécialiste de l’emballage ou encore une femme qui développe une activité pour aider les entreprises à lutter contre l’illettrisme.

 

Quelle est votre valeur ajoutée ?

 

Nous partons du principe, et nos rencontres avec adhérents et intervenants le confirment, qu’un entrepreneur ou un chercheur d’emploi actif a une âme de battant et non celle d’un « assisté ». La dynamique positive est bien là, à nous de cerner les besoins et d’accompagner les porteurs de projets personnels et professionnels dans leur création, développement et réussite !

 

Quelle est votre actualité ?

 

Le 6 octobre, nous organisons le premier Rendez-vous des Entrepreneurs où une dizaine de participants partageront l’expérience d’un chef d’entreprise local et échangeront sur les thèmes qui leur tiennent à cœur.

 

Quel est le retour des adhérents sur ce premier RDV ?

 

Excellent, il est déjà complet !

 

Une autre actualité?

 

Oui, le 14 octobre nous organisons un Atelier sur le thème : « Booster sa recherche d’emplois », nous échangerons sur les thèmes suivants :

- Valoriser son CV

- Optimiser ses profils professionnels en ligne

- Bien cibler ses recherches d'emploi

 

Quel est ton objectif dans les années à venir ?

 

A titre personnel, ouvrir mon cabinet d’avocat en 2017, si tout va bien. En ce qui concerne l’Association, développer le nombre d’adhérents pour arriver à une cinquantaine en 2015 mais pas plus. Ce serait, je pense, au détriment de la qualité de l’accompagnement de proximité que nous souhaitons développer.

 

Comment arrives-tu à gérer tes deux petits, tes études et ton Association ?

 

J’ai beaucoup d’énergie et je suis une passionnée de la vie en général alors je donne le maximum de mes capacités dans ce qui me tient à cœur. Je suis partenaire dans la vie et dans l’association avec mon compagnon et nous vivons cette aventure à deux, ce qui est aussi très enrichissant !

 

Un message pour Les Filles ?

 

Vous êtes nombreuses sur le Bassin, pleines d’énergie et de volonté. J’ai envie de vous dire « GO » ! Allez au bout de vos projets qu’ils soient personnels ou professionnels. Le moteur de votre réussite, c’est vous-même ! Et si vous avez besoin d’un « coup de pouce » pour vous accompagner, nous sommes là ;-)

 

Merci Alexandra

site internet ici  

Facebook   

 

 

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06/09/2014

Les Filles des Flots?

Pourquoi les Filles des Flots - Bassin d'Arcachon?

J'ai cherché un nom qui pourrait nous rassembler et peut-être à terme, regrouper d'autres filles qui ont en commun l'eau, la côte, l'océan comme les Filles du Pays Basque ou les Filles de Vendée.

Les Filles des Flots m'est apparu comme une évidence… sans jeu de mots  

J'espère qu'il sera vôtre, comme un signe de ralliement autour de valeurs, de passions, d'intérêts communs.

Le logo ci-dessous n'est pas le nôtre, mais il est effectivement en gestation en espérant que chacune s'y reconnaîtra 

Bon week end à toutes

Marie Margot

Yes, we can!

Qui serait intéressée pour créer un groupe de discussion en anglais, 5 à 8 filles, une fois tous les 15 jours autour d'un thème, chez l'une d'entre nous.

Ceci s'adresse au niveau moyen et confirmé car il n'y aurait pas de prof ou peut-être une de temps en temps.

On pourrait tourner, une fois au Canon ou au Cap Ferret et une fois à Lège ou Andernos. Ceci serait organisé avec Cap Langues et Lucile Rios.

J'attends vos retours!

31/08/2014

La Page Facebook Les Mots pour le Dire

C'est ici

Et voilà c'est parti pour une nouvelle aventure!

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Et voilà, c'est parti pour une nouvelle aventure 

25 ans d'expérience en communication écrite me permettent de mettre mon expertise et ma passion de l'écriture au service des professionnels et particuliers.

J'interviens dans les domaines suivants : 

- Rédaction
- Réécriture
- Correction

Pour les Professionnels :

- Contenu de sites internet, blogs
- Rapports de commissions
- Newsletters, Brochures, Rapports annuels
- Dossiers et communiqués de presse
- Articles
- Etc.

Pour les particuliers :

- CV
- Lettres de motivation
- Courriers divers
- Rapports de stage
- Mémoires
- Récits de vie
- Etc.

Merci de partager si vous êtes intéressé(e) ou si vous connaissez des personnes qui pourraient l'être!

 

 

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21/07/2014

Un Jour Une Fille : Anne Burdin

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Bonjour Anne,

 

Depuis quand viens-tu sur le Bassin ?

 

Mes grands parents sont sur le Bassin depuis 1931, à Claouey plus précisément. 

J'ai grandi ici dès que nous nous évadions de la ville c'est à dire presque tous les weekends et les vacances scolaires.

 

Tu es peintre aujourd'hui, quel a été ton parcours?

 

J'ai toujours baigné dans le milieu artistique par mon père qui était photographe et ma mère qui était férue d'art.

 

Il est donc apparu « logique » que je fasse des études dans ce sens et je me suis inscrite aux Beaux Arts à Bordeaux avec pour objectif de faire plutôt de la création et du graphisme.

 

A la fin de mes études je suis partie à Londres en stage dans une agence de pub; le job ne m'a pas plu mais j'ai adoré Londres alors j'y suis restée... 3 ans

 

3 années extra où j'ai travaillé et baigné dans le milieu artistique ce qui m’a permis de rencontrer des gens passionnant et passionnés et de m’ouvrir de nouveaux horizons.

 

Une petite anecdote de fille, je me souviens avoir travaillé sur la commande d'une robe entièrement en cristal. Travail magnifique mais la pauvre fille qui porterait cette merveille allait crouler sous le poids de l'oeuvre!

 

Au bout de 3 ans j'ai décidé de rentrer à Bordeaux où j'ai travaillé à La Cité Mondiale. Mais ma passion de peindre ne me lâchait pas.

 

Qu’as-tu fait?

 

Toujours en quête du Graal ;-), j’ai décidé de reprendre mes études et par le biais des Arts Appliqués, j'ai rencontré un prof, un vrai passionné qui montait l'Institut européen de restauration et de conservation d'oeuvres d'art.

 

Au bout de 4 ans j'étais restauratrice de tableaux et j’ai continué dans cette voie pendant 15 ans ce qui m’a permis, entre autres, de travailler sur de très beaux tableaux.

 

Je continue avec grand plaisir la restauration mais au bout de 15 ans je me suis rendue compte que j’étais dans un cadre qui ne laissait aucune place à l’improvisation et cela me manquait, ainsi que le travail en équipe que j’avais découvert lors de chantiers de restauration de monuments anciens.

 

J’ai donc fait une formation de peintre en décors et trompe l’œil ce qui m’a appris d’autres techniques notamment la création de décors de théâtre.

 

Comment est venue cette envie de peindre le Bassin?

 

Il y a quelques temps déjà je faisais des carnets de croquis de pins. Je poussais la technique pour avoir le plus de rendu possible notamment au niveau de l'écorce des arbres et le détail des aiguilles.

 

Puis j'ai décidé de peindre notre maison de Claouey. J'ai trouvé beaucoup d'apaisement et de plaisir à peindre ce lieu si cher et qui par mes souvenirs, touche tous mes sens.

 

 

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Avec le souci du détail acquis par mon expérience de la restauration, j’ai eu envie de restituer la lumière et les couleurs au plus près de la réalité.

 

Lorsque j’ai accroché mon premier tableau chez mes parents, il a suscité des réactions immédiates et des amis m’ont suggéré l’idée de faire une expo !

 

J’ai donc peint, puis exposé et ça a bien marché et depuis je travaille sur commande mais aussi beaucoup à l’inspiration.

 

Que te commande-t-on?

 

Les clients souhaitent que j'immortalise leur villa, leur pinasse, le village de leur enfance, les points de vue « mythiques » du Bassin.

 

Ils vivent un peu partout en France et à l’étranger et apparemment retrouvent dans mes tableaux le réalisme de leurs souvenirs et parfois l'âme de leur famille, de leurs grands parents, leur mémoire…

 

 

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Tu apportes un petit "plus" sur certains tableaux, lequel?

 

Tout droit sorti de mon expérience de peintre en décors, j’ai proposé un jour à un client qui ne savait pas quel cadre choisir, de le peindre en trompe l’œil ! et voilà, c’est un petit « plus » artistique…

 

 

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Quelle est ton actualité?

 

J’organise deux Journées Portes Ouvertes d’Atelier à Claouey en Août et en Septembre où je présenterai mon travail sur le Bassin et je te donnerai les dates pour inviter « les Filles » dès qu’elles seront fixées.

 

Où peut-on te retrouver sur le net ?

Sur ma page Facebook Bassin d’Arcachon Cap Ferret et mon site internet http://anne-burdin.e-monsite.com

 

Merci Anne

18/07/2014

Un jour une fille : Maïa

Bonjour Maïa,

 

De quelle origine est ton prénom ?

 

Basque même si je ne le suis pas puisque je suis née à Arès et ai vécu ma petite enfance et mon adolescence à Petit Piquey.

 

Quel est ton parcours professionnel ?

 

J’ai démarré l’apprentissage de la coiffure dès 14 ans ce qui est souvent le cas dans ce métier et j’ai navigué entre Caudéran l’hiver et les saisons à Pïquey.

 

Puis à 22 ans, j’ai eu envie de « suivre le soleil » et je suis partie pour les Antilles où je passais l’hiver pour revenir à Piquey L’été. J’ai fait ça pendant 5 ans !

 

L’amour m’a ensuite poussée vers la Bretagne, à Rennes pendant trois ans, puis j’ai décidé de revenir à plein temps sur le Bassin en 2007.

 

Que fais-tu maintenant ?

 

Je suis coiffeuse itinérante

 

 

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Donc coiffeuse à domicile ?

 

Et non justement, j’ai toujours eu cette envie d’être itinérante mais sans rentrer chez les clients.

 

Depuis toute petite je voue une passion pour les roulottes et les Gipsy et je me suis creusée la tête pour savoir comment jumeler mes deux passions.

 

Les envies de roulottes ont vite été balayées pour des raisons évidentes et tant pis pour le cheval !

 

J’ai donc opté pour la fabrication d’un « camion salon de coiffure » sur mesure.

La fabrication a duré 8 mois et je me suis lancée en juin l’année dernière.

 

 

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Je comprends mieux pourquoi on retrouve cette déco esprit nomade, avec ces photos de gitans.

 

Oui, c’est ma roulotte mais au lieu d’avoir un cheval j’en ai plusieurs !

 

Quelle est ta zone d’intervention ?

 

Je vais de Lège au Cap Ferret mais aussi à Andernos et Arès.

 

Comment t’organises-tu  l’été?

 

L’été je fais les marchés le matin, deux jours au Cap Ferret les mardi et mercredi et trois jours à Piraillan , les lundi, jeudi et vendredi. L’après midi, je travaille sur rendez-vous. Bien sûre je m’arrange pour regrouper les RDV donc parfois je me « pose » dans un village et les clients viennent jusqu’à moi.

 

Et hors saison ?

 

La saison des marchés se termine pour moi le 15 septembre et ensuite je reprends la route pour aller vers mes clients.

 

J’ai une clientèle fidèle, des personnes du 3ème et 4ème âge avec qui j’ai tissé des liens très forts. Elles me gâtent à chaque fois que je viens, des gâteaux, des œufs etc.

 

A quoi attribues-tu cette confiance plutôt spontanée ?

 

Au fait que je suis de la région peut-être, à mon caractère sans doute, au fait que je suis passionnée par mon travail et les liens qu’il permet de tisser.

 

Mais je suis aussi convaincue que pour un premier contact, le fait que je ne rentre pas chez les gens est un atout. Je viens vers eux mais je ne pénètre pas leur intimité.

 

Au fil du temps quasiment tous m’ont ouvert leur porte mais je garde cette « distance » , qui je pense, convient à tout le monde.

 

A part nos « grands mères », quel est ton type de clientèle ?

 

J’ai beaucoup de clients qui travaillent à Bordeaux et vivent sur le Bassin, rentrent tard le soir et n’ont pas envie d’aller chez le coiffeur le samedi, alors ils regroupent la famille, prennent rendez-vous et je vois tout le monde défiler dans le camion.

 

Les enfants ADORENT le camion !

 

 

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Comment envisages-tu l’avenir ?

 

Je vois l’avenir assez sereinement car je remplis mes objectifs mais surtout j’ai repris goût à mon métier et pour rien au monde je ne lâcherai cette liberté.

 

Serais-tu partante pour t’associer au projet les « Coquettes du Bassin » qui consiste à sortir certaines personnes de leur isolement en leur donnant quelques instants de bien-être et de cocooning ?

 

Absolument !

 

Merci Maïa et à bientôt et je confirme que mon poussin a adoré se faire coiffer dans le camion ;-)

 

 

 

13/07/2014

Le syndrome de la jeune fille au pair

Depuis deux semaines nous voyons pulluler sur nos plages des jeunes filles bien trop jeunes pour être des mamans et souvent trop âgées pour être les grandes sœurs.

 

D'ailleurs l'attention qu'elles portent aux progénitures dont elles s'occupent, souvent ponctuée d'un accent étrange ne trompe pas ! Here is THE baby sitter de l'année.

 

Mais pourquoi je n'en ai pas encore trouve une jolie, mince, élancée avec de grands yeux et des longs cheveux????

 

Je me demande qui a fait la sélection :-))

 

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10/07/2014

Un Jour une Fille : Véronique Bogdanoff

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Bonjour Véronique,

 

Depuis quand es-tu installée sur le Bassin ?

 

Je suis arrivée de Paris en 2005 où je travaillais dans la téléphonie mobile. Etant originaire du Gers et ayant envie de nous rapprocher de mon père, nous avons décidé de nous  installer ici, par hasard, si hasard il y a… 

 

Directement Paris - Cap Ferret ?

 

Non, nous avons fait ça par étape si je puis dire. Nous sommes arrivés en 2005 à Andernos puis à Petit Piquey en 2008 et en 2012 au Cap ferret ! Je ne pense pas que nous puissions aller plus loin ;-)

 

Comment te sens-tu sur le bout de la Presqu’île ?

 

J’adore, le cadre est somptueux, mes filles adorent leur école et ont plein d’amis et moi aussi je suis très entourée.

 

Tu as profité de ta venue ici pour faire une reconversion professionnelle, laquelle ?

 

Ca, c’est sûr puisque de la téléphonie mobile je suis passée à la Sophrologie, mais je ne peux pas dire que cela ait été décidé, c’est plutôt un concours de circonstances ou peut-être la bonne rencontre au bon moment !

C’est au travers de ma seconde grossesse que j’ai été initiée à la Sophrologie par le biais de ma sage femme. Ce fut une vraie révélation pour moi d’abord car j’ai découvert un calme, une sérénité et une vraie prise de conscience de pouvoir pleinement participer à mon accouchement.


 

Pratiquer c’est une chose mais vouloir en faire son métier cela en est une autre, comment t’es tu décidée?

 

Un jour je suis tombée sur une émission de télévision sur la pratique de la Sophrologie en entreprise. Je suis restée « scotchée » et me suis dit « c’est pour moi, c’est moi, c’est ce que je veux faire ».

Après réflexion, discussions avec ma sage femme devenue amie, j’ai décidé de me former en Sophrologie Caycédienne.

Je savais que c’était très novateur et que ce ne serait pas simple, notamment ici, mais je savais aussi au plus profond de moi que c’était ce que je voulais et devais faire.
 

J’ai donc suivi 4 années de formation et je me suis installée en 2010 à la Maison Médicale et Bélisaire.


 

Dans quels domaines interviens-tu?

 

En cabinet, j’accompagne surtout des patients dans leur développement personnel et notamment je les aide à affronter leurs peurs, à se découvrir et à devenir autonomes.

Je traite par exemple des cas de phobies (avion), la peur de l’échéance d’examens mais aussi d’entretiens d’embauche pour les aider à se mettre dans une situation de réussite.

Nous travaillons sur le passé mais aussi le présent et le futur et sur le long terme, cela permet d’aller chercher en soi des choses positives et non pas de toujours remuer le négatif !

 

Tu as monté un programme pour cet été, peux-tu nous en dire plus ?


 

Oui, j’ai créé SophroPlage qui comme son nom l’indique, consiste en une séance de Sophrologie sur la plage. Le principe est de vivre une séance au milieu des éléments et  notre situation géographique entre terre et mer favorise ce travail.
 

Les séances ont lieu sur la plage du Mimbeau au Cap ferret tous les jours jusqu’au 31 août sur RDV. Vous pouvez me contacter au 06 09 11 11 15


 

Pour conclure, que t’apporte la vie sur le Bassin ?

 

La vie ici m’apporte beaucoup d’amitié, d’attention et d'amour... de la mer que j’essaie de rendre même si je suis une fille de la campagne ! Je suis très fière de donner cette enfance à mes filles.
 

Merci Véronique

 

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26/04/2014

Confidence

Puisque certaines se demandent qui se cache derrière Marie Margot et bien voilà.... c'est moi :-) 

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A la différence que je ne me cache pas et que cette photo a quelques années tout de même :-)

D'abord j'ai une sainte horreur d'être prise en photos. C'est quasiment la seule que j'aime, prise par mon ami photographe Philippe Schaff qui vit entre Paris et Piquey.

J'aime beaucoup celle avec les chameaux car elle représente une partie importante de ma vie à l'étranger...

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Pourquoi le nom de Marie Margot? Parce que Marie est mon 2ème prénom et que si j'avais eu une fille elle se serait appelée Margot.

J'écris et je blogue sous le nom de Marie Margot depuis plus de 10 ans et c'est vraiment moi. J'ai passé des années à entendre "Etes-vous la fille d'un tel?" et en arrivant ici ça a été "Ah! vous êtes la femme de Truc muche!"

Voilà, c'est tout simple :-)

 

Marie