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26/06/2014

Les Escapades musicales

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On ne m'en dit que du bien alors je partage, une série de concerts superbes tout autour du Bassin, quelle bonne idée!

Je vais faire ma petite enquête mais le site c'est ici 

17/06/2014

Un jour une Fille : Françoise Sammarcelli

_DSC0498.JPGBonjour Françoise,
 
Pouvons-nous en savoir un petit peu plus à ton sujet?
 
Je suis en née en 1940 et j'ai donc 74 ans cette année. Je suis née à la campagne à St Médard de Guizières où j'ai construit des souvenirs d'une vie très proche de la nature, au gré des saisons avec la cueillette des fruits, le ramassage des champignons et la pêche à la rivière et ma passion pour la pêche vient de là.
 
Entre 8 et 14 ans mon père louait une villa dans la Conche des Jacquets puis vers l'âge de 18 ans je partais en vacances chez des amis à la Vigne. D'ailleurs l'été de mes 18 ans, je n'ai jamais été aussi blanche... Nous faisions la fête tous les soirs et dormions toute la journée!!!
 
De quand date la maison de Piraillan?
 
Des années 60 et à cette époque nous étions seuls dans le quartier. Les travaux se sont terminés en 63 et je me suis mariée en 64. 
J'avais rencontré Michel lors de vacances en Espagne (Une de mes copines me l'a présenté).
 
J'ai eu le bonheur d'avoir deux enfants, Gilles en 66 et Thomas en 67. J'ai arrêté de travailler chez mon père pour élever mes enfants. A l'époque nous habitions à Eysines et venions les weekend ici. Le bonheur!
 
Comment t'es tu remise à travailler?
 
en 1977, mon père était très malade et la direction de l'entreprise est venue me voir pour que ce soit moi qui prenne les rennes ...
Après discussion avec Michel j'ai accepté mais je n'y connaissais rien. J'ai appris sur le tas et ça a été une révélation.
 
J'y ai travaillé 27 ans en tout et tous les matins, je partais au bureau avec le sourire. Pour apprendre c'était simple, j'allais avec les gars sur les chantiers et je posais des questions sur tout ce que je ne connaissais pas.
 
Ayant une nature très positive je me suis dit que je n'étais pas plus bête qu'un autre et que je pourrais y arriver.
 
Ces années là ont été extraordinaires en tant que chef d'entreprise avec plus de 200 personnes dans la société.
 
En 1982 mon père a décidé de vendre mais les acquéreurs ont voulu me garder. Je suis restée jusqu'en 1995 mais ce n'était plus pareil ;
 
Beaucoup de paperasses, de rapports à rendre or moi ce que j'aimais c'était le terrain, travailler avec mes équipes, être proches d'eux et de mes clients.
 
J'ai donc décidé de négocier mon départ. 
 
Mais tu ne pouvais pas rester sans rien faire, si?
 
Sûrement pas.
 
En 94, mon banquier d'Eysines m'a sollicitée pour que je me présente à la Mairie d'Eysines.
 
Compte tenu de ma nouvelle situation professionnelle, j'y suis allée et comme tête de liste.
 
J'ai fait 47,74% des voix, score plus qu'honorable pour une première présentation mais pas suffisant!!!
 
Nous avons décidé à la même époque de vendre notre maison d'Eysines pour partir s'installer aileurs.
 
Un jour, une dame se présente et nous dit qu'elle veut acheter notre maison à la condition que l'on soit partis dans les 15 jours!
 
Nous avons donné notre accord en nous disant qu'en attendant de trouver autre chose nous nous installerions à Piraillan, d'autant plus que c'était au mois de juillet.
 
Puis au mois de septembre, je me souviens, nous étions en voiture au niveau du rond point d'Ares et Michel me dit :
 
"Et si nous restions vivre à Piraillan?"
 
"Ok"
 
Et voilà comment nous sommes devenus résidents de la Presqu'île.
 
Comment t'es-tu organisée dans cette nouvelle vie après les trépidations de l'entrepreunariat et de la "Ville"?
 
J'ai commencé par refaire la maison puis je me suis mise à peindre sur toile, ça a duré 18 mois.
 
Un jour, j'ai rencontré un Monsieur qui s'occupait d'une association de peinture sur porcelaine. On était 5 et j'ai adoré car quand tu sors de ton 1er cours, tu as réalisé quelque chose.
 
En 2002 j'ai quitté l'association pour me mettre à mon compte. J'ai annexé le garage de ma maison, me suis achetée un four et le matériel nécessaire et voilà, l'affaire était partie!
 
Qu'est-ce qui t'inspire?
 
Tout simplement ce que je vois. Par exemple un jour j'ai vu les cabanes de pêcheurs et j'ai eu envie de les peindre et voilà comment j'ai développé mon thème cabanes.
 

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Par quel biais commercialises-tu?
 
par mes réseaux d'amis, je fais essentiellement de la vente à domicile et le bouche à oreille marche très bien. 
 
D'ailleurs ma première commande était une série de bols à bouillon que j'avais du envoyer par la poste. Et bien évidemment tout est arrivé cassé!
 
J'ai travaillé jour et nuit pour refaire la série et c'est Michel qui m'a servi de livreur ;-)
 
Maintenant je ne travaille que sur commande mais il ne faut pas être pressé !
 
Qu'est-ce qui te plait le plus dans ton travail?
 
La création, c'est sûr, mais aussi d'entendre les gens dirent qu'ils aiment ce que je fais et aussi être indépendante, j'ai ça dans la peau...
 
Toujours prête pour de nouveaux challenges?
 
J'adore ça! Pourquoi, tu as quelque chose pour moi?
 
Qui sait ;-) Merci Françoise
 
Marie
 

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15/05/2014

Bien? Ici?

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Et toi, tu as passé une bonne journée?

 

A ton avis

 

D'accord avec toi ;-)

 

 

 

Un Jour Une Fille : Rose Marie

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Bonjour Rose-Marie,
 
 
peux-tu nous raconter ton histoire et ton arrivée sur le Bassin?
 
J'ai passé 18 ans dans un organisme financier dans lequel j'ai gravi les échelons et ai découvert les multiples facettes.
 
 
Il y a 8 ans, nous avons décidé avec mon mari de nous installer à Taussat, où ses grands parents avait une maison.
Nous avons deux enfants de 10 ans et 5 ans.
 
Puis il y a eu un plan social dans l'entreprise où j'étais et mon mari m'a poussée à me mettre à mon compte.
 
 
Dans quel domaine?
 
Celui de la mode, j'adore la mode et je suis une fouineuse, une chineuse et dénicheuse...
J'ai pensé ouvrir un commerce mais la situation économique du Bassin est trop irrégulière et je me suis dit que je n'y arriverai pas à cause de la longueur de l'hiver....
Je suis aussi une acheteuse sur le net et il est vrai que si je craque sur une paire de chaussures à 4h du matin, je peux me la commander.
 
 
Et donc?
 
Et bien je me suis dit qu'il y avait de la place pour monter un vide dressing sur le net.
 
Peux-tu nous expliquer ton concept?
En fait, mes amies me demandaient déjà si j'avais des bons plans pour ceci ou celà, où trouver THE petite robe noire ou la paire de ballerines collector de Marc Jacobs!
J'ai donc décidé de professionnaliser ce conseil.
Je me déplace chez mes clientes, je fais un tri avec elles et je prends en charge la totalité de la filière.
Je décide des articles à vendre, je les emporte avec moi, les photographie, les mets en ligne.
Et une fois vendus, je rétribue ma cliente des 60% qui lui reviennent.
 
 
Mais tu es en concurrence avec les vide dressing qui se développent où les femmes touchent 100% de leurs ventes?
 
Oui et non car mes clientes n'ont ni le temps, ni l'envie de faire tout le boulot. Je m'occupe de tout de A à Z, même les expéditions donc ma cliente n'a rien à faire si ce n'est me recevoir une fois, me faire confiance car je garde ses affaires en dépôt et récupérer son pourcentage.
 

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Sur quel type de produits es-tu placée?
 
je suis sur ce que l'on pourrait appeler le milieu haut de gamme mais ma sélection est plus sur la qualité du vêtement ou de l'accessoire que de la marque.
 
 
Cela me paraît très intéressant pour les vendeuses, mais comment te fais-tu connaître car ensuite il faut trouver les acheteuses?
 
Je travaille beaucoup sur mon site, mais aussi mon référencement internet. Il faut que je sois la mieux placée possible. Je participe aussi à des opérations communes entre différentes activités par exemple une journée cocooning.
 
Je fais aussi partie de réseaux de femmes chefs d'entreprises et de groupes comme les filles du Bassin qui bien sûr sont un vivier pour moi.
 
 
Quelles sont tes ambitions?
 
Développer ma société tout en restant vivre ici, dans notre petit paradis ;-)
 
 
Merci Rose Marie et rendez-vous sur destresorspourmondressing.com
 

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13/05/2014

Pique nique sur le Bassin

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Apparemment grand beau temps demain même si petit vent prévu.


On ressort la parasol bleu et on se donne rendez-vous sur la plage en face de la Médiathèque à Piquey avec ou sans enfants, en pause déjeuner ou pause café....

 

A demain si vous le pouvez!


Marie

12/05/2014

Marie, pourquoi les Filles du Pays Basque

Parce que j'aime le Pays Basque et c'est notre échappée belle dès que nous pouvons partir quelques jours avec mon mari.

 

J'ai passé près de 7 ans toutes mes vacances d'été à Ascain où je suis devenue amie (à condition que je ne dise pas que j'étais bordelaise ;-)) avec une bande de garçons basques qui m'ont entraînée dans les fêtes de villages entre Chistera, Pala et danses folkloriques. J'ai adoré ces années de ma vie entre montagne et mer puisque nous n'allions nous baigner que le matin à St Jean de Luz.

 

Ma grand-mère s'est mariée à St Jean de Luz et enceinte, son mari commandant dans la marine nationale, ils habitaient sur le merveilleux port de St jean. Et pour ne pas déranger ma grand-mère, les marins retenaient leurs sirènes lorsqu'ils passaient devant ses fenêtres.

 

 

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C'est toujours avec beaucoup de plaisir et d'émotion que je reviens au Pays Basque. J'en ai découvert un peu plus l'arrière pays grâce à mon mari chasseur à la palombe dans les cols près de St Jean Pied de Port où j'avoue que parfois il me rapporte plus de bonne viande de la boucherie de Val Carlos, que de Palombes (entre nous ce n'est pas pour me déplaire)...

 

Mais les Filles du Pays Basque comme les Filles du Bassin ont en commun la mer, les flots, le vent, le sable, le grondement sourd des vagues etc... aussi ce blog s'appelle désormais Les Filles des Flots et est voué à accueillir d'autres Filles d'autres Flots ;-)

 

Marie

07/05/2014

The Good Life

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Rien que de l'écrire, je me sens beaucoup mieux, LIFE IS GOOD ou alors je n'ai qu'à brancher Pharrell et je serai HAPPY.

 

La vie serait-elle si simple qu'il suffirait de brancher son mp3 pour se sentir heureux? Pas sûr que cela me tenterait...

 

Mais j'ai découvert un magazine qui m'a rendue happy pendant le temps de lecture de son Edito.

Il s'agit de The Good Life. Seul hic! c'est sensé être une magazine masculin.

 

 

Ouf, personne dans les rayons pour me prendre la main dans le sac comme si pendant une petite seconde je culpabilisais d'acheter un magazine masculin.... Inepsie de ma part. 

 

La couverture est plutôt industrieuse mais les titres et bannières sont attractifs.

 

The Good Life : Le premier magazine masculin hybride : business & lifestyle

 

et en bas de la page une fenêtre avec "Extremely addictive" (ça je le saurai quand j'aurai fini de le lire et attendrai avec impatience la parution du prochain.)

 

Mais ce magazine a piqué ma vanité et m'a un peu vexée car il précise sur sa couvertire je cite :

 

"le magazine dont tout le monde parle en ce moment"

 

et là, je me suis sentie hermite, voire même hermine planquée dans son terrier qui ne connait plus rien de la vie, puisque cet OVNI est en kiosque depuis plusieurs années déjà! Il était vraiment temps que je reprenne le blog moi ;-)

 

Le pire est lorsque j'en ai parlé à une amie qui m'a rétorquée

"Pfff! mais bien sûr Marie, c'est The magazine à kiffer pour les mecs".

 

Donc je me suis plongée dans la lecture de ce pavé de 300 pages, plus près du livre des records (en pubs de luxe tout de même) que de Elle et là, j'ai jubilé à la simple lecture de l'édito.

 

Il secoue la poussière de nos idées reçues, figées et engluées dans des concepts bien français qui nous endorment pour continuer à nous faire croire que nous faisons partie du centre du monde.

 

Hellloooo! Wake up! Game over!

 

Les "Pac Man" sont là (pas très jeune la références mais je battais les records au Milk Bar près de mon école...) et ne feront de nous qu'une bouchée. Alors nous pouvons nous applatir dans nos tranchées de certitudes, mettre les deux mains sur la tête, fermer les yeux et prier pour que ça passe sans que l'on ait à bouger le petit doigt.

 

Ca ne marchera pas.

 

La question n'est plus de savoir comment résister au ras de marée des pays dits "émergents" (ils ont émergé depuis déjà un bon bout de temps) mais de les comprendre et les apprendre pour être capables de se considérer nous-mêmes comme de vrais partenaires face à ces géants!

 

Alors comme dit Laurent Blanc dans son édito (je ne pense pas que ce soit l'entraîneur de l'équipe de France de foot ;-)

 

"En france, on est, par principe, contre la mondialisation. Plutôt que de se plaindre tout le temps, de devrait-on pas se tourner vers ces pays dès aujourd'hui pour mieux les comprendre demain?.....

 

Nos enfants n'auront pas d'autre choix, s'ils veulent réussir, que de se tourner vers ces pays. Un conseil à tous les jeunes qui lisent the Good Life : partez ! Allez voir et comprendre le monde! faites des stages en Chine, au Brésil, en Inde.....

 

Vous serez plus fort si vous comprenez ces pays et leurs habitants. Dites-vous aussi que "mondialisation", "globalité" et "business" ne sont pas des gros mots.....

 

Il faut que vous vous premiez en main, c'est vous qui construirez votre vie!.....

 

Life est Good..... if you want to! 

 

27/04/2014

suivre le blog

Bonsoir a toutes les blogueuses. Vous pouvez être informées de la publication d'un nouvelle note en cliquant sur le RSS en haut a droite de la page. J'ai fait un test pour moi ça marche mais dites moi si c'est le cas pour vous. Marie

26/04/2014

Confidence

Puisque certaines se demandent qui se cache derrière Marie Margot et bien voilà.... c'est moi :-) 

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A la différence que je ne me cache pas et que cette photo a quelques années tout de même :-)

D'abord j'ai une sainte horreur d'être prise en photos. C'est quasiment la seule que j'aime, prise par mon ami photographe Philippe Schaff qui vit entre Paris et Piquey.

J'aime beaucoup celle avec les chameaux car elle représente une partie importante de ma vie à l'étranger...

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Pourquoi le nom de Marie Margot? Parce que Marie est mon 2ème prénom et que si j'avais eu une fille elle se serait appelée Margot.

J'écris et je blogue sous le nom de Marie Margot depuis plus de 10 ans et c'est vraiment moi. J'ai passé des années à entendre "Etes-vous la fille d'un tel?" et en arrivant ici ça a été "Ah! vous êtes la femme de Truc muche!"

Voilà, c'est tout simple :-)

 

Marie

 

 

29/03/2014

Principe

Je vais avoir besoin de relais. Nous allons donc bientot faire appel a candidature parmi vous pour prendre en charge une idée, une activité etc.... Je pense que nous donnons le meilleur de nous mêmes quand nous aimons profondement ce que nous faisons. Gardons en tete cette idee dans les futurs engagements des filles.

Marie